Première objet

Pas étonnant que le célèbre
Crownie Américain s'offre les services de
Michel Denisot à
la direction de la rédaction de son journal. L'ancien directeur général adjoint du groupe Canal+, et producteur à ses heures perdues ( le grand journal, les césars ... ) et
découvreur de talents retourne aux sources et s'entoure entre autre d'
Anne Boulay qui à lancé le magazine GQ, il explique que Vanity Fair l'avait inspiré à la création du Grand Journal.
Très heureux de transmettre son expérience et ses idées il se réjouit d'être en possession du plus bel objet de sa vie professionnelle.
Le magazine fête ses 100 ans cette année,
il fusionne en 1936 avec le célèbre Vogue bible des modeux comme moi qui ne rate jamais la sortie d'un exemplaire ( j'en ai une étagère entière) ! Vanity se veut
avant gardiste, indémodable et reconnaissable entre tous ( rappelez vous de la couverture qui avait fait sensation de l'actrice Demi Moore posant nue et enceinte ), même
M. Newton à travaillé sur l'identité visuelle du journal ! Glamour et
mordant, il traite de
Culture, d'
Economie, de
Politique, de
Mode, de
Phénomènes de société et offre
un nouveau regard sur l'actualité trop souvent
formaté.
J'achète !
Deuxième objet

Ce petit chausson
en toile avec de
la corde de chanvre est
cousu à la main !
65% de la production des espadrilles
sont fabriquées au Pays Basque et
produite dans la région depuis le 18 ème siècle.
En 1960 elle monte sur les podiums d'
Yves Saint Laurent qui passe une commande à la maison
Castaner pour fabriquer l'
éspadrille compensée.
Aujourd'hui tous en espadrilles ! Même en ville !!!